Le mulch d’hiver

Comme tout le monde l’a remarqué, la dernière photo sur mon article d’hier était du mulch. Je vous la réédite, histoire de vous remettre dans le bain.

Ceci est la fin du travail, joli matelas.

Pour commencer, sur cette parcelle où se trouvaient des maïs et tournesols, j’avais repiqué quelques panais. Après la récolte, j’ai broyé les tiges de tournesols pour les mettre dans le composteur offert par John (notre composteur s’appelle aussi djohn) Les tiges de maïs ont été broyées et épandues sur la parcelle.

Sur la droite les tiges de maïs broyées, à gauche le mélange de broyat.

Donc, j’ai épandu une couche peu épaisse de broyat de cyprès et de taille, maturé pendant une année. D’ailleurs j’ai découvert dans cette espèce de compost pas fini des quantités de cétoines (gros cul, belle gueule) à la différence des hannetons (grosse gueule, petit cul)

Les cétoines forment au bout de leur cycle de beaux insectes vert, mordorés qui butinent, surtout les roses et mâchouillent leurs fleurs ce qui ne plaît pas à certains jardiniers. Si vous en trouvez dans votre compost laissez leur une chance. Elles sont assez rares .

Après ces deux premières couches, j’ai mis une bonne épaisseur de feuilles du grand marronnier de ma cour, puis du foin et des fanes de pomme de terre entassées lors de l’arrachage de la parcelle 17 (tout le monde suit ?)

De la feuille à droite et du foin à gauche pour stabiliser le tout et éviter les coups de vent ainsi que le grattage trop précoce des oiseaux, ils auront bien le temps de venir cet hiver…,

,Pour finir une couche de foin récolté début d’été, j’ai laissé les panais, ils profiteront de ce bel étalage. Avec presque trente cm de mulch la parcelle est prête à passer l’hiver : Lombrics, vers, cloportes, myriapodes et autres collemboles peuvent s’atteler à préparer cette bande et avec l’aide d’une taupe ou deux, le terrain sera prêt au printemps pour planter des pommes de terre ou des fleurs.

Allez savoir, rendez-vous l’année prochaine.

 

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Paillage ou mulch ?

La question est posée. Le paillage consiste à mettre une couche de couverture sur vos plantations, repiquages et semis un peu développés. Le mulch avec une couverture épaisse présente toute l’année, où l’on plante dans le sol en écartant la couverture. C’est la permaculture (qui est réservé au bio !!!  dans les livres)

Je ne sais pas dans quel domaine je me trouve ( je cultive mon jardin sans me préoccuper de tous les articles, bouquins et autres conseilleurs certainement bien avertis) Mais j’en ai plusieurs (de livres) et j’y prends des idées et des petits tours de mains. Donc je paille et je « mulche ». Et j’ai quelques légumes…

Mes salades repiquées la semaine dernière sont bien reprises. Après un petit griffage, car beaucoup de plantes germaient, j’ai paillé.
J’ai étalé  une couche de tonte et feuilles, récupérée chez mes voisins. A & M (surtout M, c’est elle qui tond).

Le mulchage est une autre chose, Je l’utilise sur mes bandes dès que cela est possible. Le principe est de ne jamais laisser le sol nu. Assez compliqué à mettre en œuvre toute l’année ! À l’automne, quand les parcelles se libèrent, je le fais plus souvent en suivant les principes de Mr Jean Pain que je vous expliquerai un autre jour.

Le prochain article sera sur un petit mulch épais et sympa. A+

A suivre…

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La récolte du jour

Afin de booster Ciboulette, pour qu’elle nous fasse encore quelques bonnes recettes, Grelinette a cueilli une cagette de légumes bien frais.

Un peu de tout, de quoi se régaler demain.

Et des photos détaillées

Quelques tomates (je ne fournis pas le riz ni le beurre et le gigot court toujours dans le pré, pour ceux qui suivent !!)
Des petites courgettes, des poivrons doux et des aubergines.
Des piments (si elle utilise tout, ça va être chaud, très chaud)

Alors on va manger quoi demain ???

 

 

 

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Le maïs de Mag

Mag m’a donné un épi de maïs pop-corn ce printemps, pour le semer. On ne sait pas où elle l’a trouvé, peut être dans une bouchure…

Cela me rappelle une histoire de thym (Coucou Lyly Coelette)

Ce matin, je me suis dépêché de récolter mes épis car avec la pluie on a des risques de propagation des maladies cryptogamiques. Les épis sont au stade pâteux très avancés (presque durs)

Belle récolte sur un rang de six mètres, une centaine d’épis
Epis mis à sécher dans le garage

Si quelqu’un peut m’expliquer comment faire pour fabriquer de belles tresses d’épis comme on en voit en Bresse, je suis preneur, merci d’avance.

Mag m’ayant offert la semence, je tiens a lui rendre au centuple son cadeau, je lui offre mes plus beaux épis!

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Les mésanges

Comme Dom vous l’a expliqué hier, il a cueilli nos quelques pieds de tournesol du jardin. Les oiseaux avaient déjà grandement profité de l’aubaine en les picorant sur pied.
Depuis qu’il en a mis sur le mur de la terrasse, c’est banquet tous les jours pour les mésanges.
Elles ne sont pas très nombreuses, car je n’en ai jamais vu plus de 4 ou 5 en mème temps, mais elles sont efficaces .
Il y a les charbonnières plus grosses mais surtout des mésanges bleues plus menues mais qui savent se faire respecter.

Mésange charbonnière en plein festin
Trois petites mésanges bleues qui surveillent les alentours

Les autres oiseaux n’ont qu’à bien se tenir !

D’ailleurs comme en plein hiver, les mésanges se servent toujours en premier. Il n’y a que les pies qui réussissent à leur faire peur.

Chacun son tour

Même nos chats qui sont friands d’oiseaux ne s’y attaquent pas ou alors ils savent qu’ils ne sont pas assez rapides pour ces acrobates.

J’ai passé un bon moment à les traquer pour avoir des photos, mais il faut être bien immobile, avoir le doigt rapide sur la gâchette et un bon appareil.

Trop belle la petite avec son calot bleu gris

Le soir il ne restait plus rien, Dom s’est laissé attendrir et leur a remis quelques graines supplémentaires .Il faut dire que ces petites gourmandes sont aussi de bonnes auxiliaires au jardin car elles mangent de grosses quantités d’insectes,de chenilles et de pucerons.

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Cueillette des tournesols et étêtage du mais

Avant que les petits oiseaux ne mangent tous les tournesols, je ramasse les têtes les plus mûres.

La plantation en juillet
Récolte des tournesols il y a quelques jours, ils sont déjà bien attaqués par les oiseaux. Cette tête-là est vide.

Les grosses têtes ont été mises de côté, les autres plus petites ou moins mûres sont mises à sécher sur le mur de la terrasse. Les tiges ont été broyées et mises au composteur.

Les mais pop-corn sont étêtés pour activer le remplissage des grains et leur maturité.

Les lapins se sont régalés avec les feuilles.

Ce début de semaine, les épis de mais ont déjà bien grossi.

Les épis ne sont pas très gros (10 cm) mais il y en a jusqu’à 5 par pied.

Par contre, les tournesols n’ont pas séché beaucoup : de petites coquines s’en sont occupées

Très efficace les moissonneuses.

 

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La fin des haricots

Il fallait bien que cela arrive, après deux mois de cueillettes régulières, nous avons donc mangé les derniers haricots frais. Faute de place, je n’en avais pas resemé fin juillet.

les haricots ont été arrachés et laissés sur le sol avant d’être hachés grossièrement au fil (taille herbe)

J’ai aussi nettoyé la parcelle adjacente (fenouil grec et persil dont j’ai récupéré des graines) Ce matin j ai repoussé le maximum de paillage contre les carottes, décompacté entre les rangs à la fourche et égalisé les buttes des haricots au râteau.

Et on plante directement les salades dans cette belle terre bien meuble.

Le plantoir est un reste de piquet de tomate qui a servi à poser ma station météo. Les plants de salades sont étêtés et le pivot est raccourci.

Dans une parcelle en face ou étaient les melons, j’ai aussi enlevé le paillage pour semer de la mâche.

Plus loin des radis d’hivers noirs et roses et des navets de Nancy. À gauche des chicorées pas tout à fait pommées, en les attendant nous mangeons de la laitue à couper.

Un mélange de verte et de rouge, elle est entourée par du persil frisé et des carottes.

Cela donne envie d’une petite salade.

 

 

 

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Les piments

Après trois semaines sans rien écrire, le retour du dom!

Cabri ( type habanero ) un très fort, j ai pas encore goûté

Mon fils : Chris nous avait commandé en 2016 quelques graines de piment sur un site réunionnais. Sept variétés, des cabris, martins, cloches, blancs, achards, oiseaux et thaïs. Tout a poussé ce printemps à part les thaïs où j’ai récupéré une belle plante mais pas un piment.

Les achards : plutôt doux rougissants à maturité et très productifs
Piment cloche fort et pas tout a fait mûr
Piment oiseaux, petits mais costauds, pour l’huile sur les pizzas
Les blancs qui deviennent orange en mûrissant. Assez forts les chtits

Et enfin les petits piments de Solène mon apprentie jardinière. Bien que sur le pot ils soient annoncés non consommables, ils sont très bons, sucrés et légèrement pimentés sur la fin. Il est vrai que j’aime quand ça arrache un peu.

En plus ils sont beaux

Notre hiver sera pimenté…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Les chats

En pleine canicule, à l’ombre sur la terrasse sous le marronnier

Déjà tout petit, je vivais avec des chats trois couleurs, donc des chattes (voir Mendel) et j’en ai toujours. Ici, elles ne sont pas apprivoisées (elles ne passent pas leurs journées sur le canapé) Je leur donne des croquettes tous les jours, mais leur grand plaisir c’est la chasse. Les souris et mulots ont de la bile à se faire, mais ce qu’elles préfèrent chasser ce sont les oiseaux !

Adieu ma vieille

La plus vieille (une bonne quinzaine d’années) est morte il y a quelques semaines. Je ne sais pas ce qu’elle a eu, la vieillesse certainement. Sa fille s’est retrouvée seule et était un peu désorientée, et plutôt agressive. Depuis j’ai trouvé la raison de son attitude.

Les chattes ne rentrent jamais dans la maison, elles vivent dans les greniers, les tas de foins, les bâtiments, le jardin, la cour et les prés attenants. Je pensais que la plus jeune avait des petits mais le temps passant, je commençais à douter de mes observations.

Belle  découverte un matin : la petite fille de ma vieille chatte morte quelque temps plus tôt et une jolie trois couleurs en plus !
 

Elle joue avec sa mère et piétine mes plants de salades. Ce n’est pas que du bonheur ces petites bêtes, il y a beaucoup d’inconvénients.

La relève est assurée.

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Les ipomées

Les ipomées ont grimpé dans le kiwi (feuilles plus sombres) et depuis quelque temps des fleurs éclosent tous les matins. Du bleu au jardin, c’est assez rare. La fleur est très éphémère, à midi tout est déjà fané, les bourdons butinent donc les fleurs de bonne heure.

Juste à côté, des capucines côtoient mes superbes aubergines (est-ce que vous les trouvez sur la photo ?). Ce légume doit sentir que je ne l’apprécie guère, tous les ans je me donne toutes les peines pour ne pas récolter grand-chose. Mais j’insiste, deux pieds par an, ce n’est pas la ruine, et j’aurai sans doute une belle récolte l’année prochaine…

La capucine a beaucoup d’utilité. Au jardin, elle est belle et attire les pucerons. Son feuillage peut servir en infusion, il a une action insectifuge et fongicide. Coté cuisine on peut se servir de ses fleurs pour embellir une entrée (crue avec une saveur piquante) et confire au vinaigre les jeunes fruits et boutons floraux.

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Le proverbe indien sera t’il vérifié ?

En prévision de l’hiver qui risque d’être rigoureux vu le fameux proverbe et ma petite station météo, je coupe du bois de chauffage.

À raison d’une petite benne tous les matins depuis quelques jours,  j’ai rentré une douzaine de stères bien secs auprès de la chaudière. Dans le hangar, il me restait encore une douzaine de stères sciés l’année dernière.

A droite le bois de 2016 et à gauche celui que j’empile cette année.

 

Un petit coucou et un grand merci à mon beau frère Jean Charles qui nous a permis de récupérer cette scie circulaire.

Ça coupe, je n’affûte plus depuis 10 ans. Bien sûr il a fallu changer les courroies et début d’année j’ai acheté une nouvelle lame carbure (la vieille n’avait plus beaucoup de dents et faisait un bruit d’enfer) mais elle en avait scié des quantités en 10 ans de service !

Je remplis mon hangar du mauvais bois coupé cette année (je préfère qu’il sèche à l’ombre : beaucoup de bouleau et de tremble) Je rentre tout avec l’aide du petit tracteur et de la benne de mon voisin Alain. On se rend beaucoup de services entre nous (c’est un plaisir de vivre à côté de personnes prêtes à aider et encore plus de pouvoir leur en rendre) Merci à eux.

La benne est petite, j’y met trois à quatre stères de bois. le tracteur de collection est très pratique.

Il me reste deux bennes à scier. Le hangar ne sera pas plein, mais j’aurais environ 45 stères de bois en stock. Pour tout brûler l’hiver prochain il faudra que notre indien ait raison.

Sinon il y a encore pour faire dehors.

Pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire de l’indien et du trappeur, je vais essayer de vous la raconter.

Au Canada, un trappeur coupe du bois en prévision de l’hiver. Son voisin, un indien Anishnabe (un Algonquin, salut à eux) passe et lui dit : L’hiver va être très froid. Le Dom (dans la peau du trappeur) coupe plus de bois.

Son ami Anishnabe revient une bonne semaine plus tard et dit : Cette année l’hiver sera très très froid. Dom met donc les bouchées doubles et coupe trois fois plus de bois.

Notre ami Algonquin repasse et me dit : Cet hiver va être une catastrophe.

Mais comment le savez vous? lui demandai-je .Il me répond : Nous avons un proverbe : Plus l’homme blanc coupe de bois plus l’hiver sera froid.

L’hiver peut être froid, j’ai du bois! Excusez moi Messieurs les Anishnabe (les vrais hommes, si j’ai bien compris) de vous avoir mêlé à cette petite histoire. Salutations et tous mes respects à votre communauté.

 

 

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Le sevrage

 

C’était la semaine dernière, j’avais donné aux lapins les fanes de mes fameuses carottes pour le dernier repas avec leur mère (voir les articles précédents pour ceux qui ne suivent pas grelinetteetciboulette.fr) Les lapereaux ont bien grossi et la lapine en a un peu marre après six bonnes semaines de bon soins.

 

Les lapins adorent les carottes et bien les miens les ont goûtées, mais ne les ont pas mangées. Ils sont comme le machaon, ils préfèrent les fenouils. Ils aiment aussi la salade, les bettes, les radis mais pas les feuilles de carottes ? Cela va venir certainement.

Quand ils se seront bien régalés de divers feuillages du jardin, de joli foin et de granulés à lapin, ce sera à notre tour d’en profiter. Ciboulette va nous sortir une recette de sa grand-mère, je vous explique pas le délice !

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Le dom a évité un accident ferroviaire

Avec Eti, nous sommes allés charger du bois cet après midi. Aucun problème, tout s’est très bien passé à part qu’il s’est mis à pleuvoir à seaux mais j’avais le minimum ,une veste et une bonne sur veste en plastique imperméable. La pluie était chaude : un bonheur pour un jardinier.

C’est vrai qu’on est très long (18 m y compris la fourche, comme une semi de 40 tonnes) et très chargé pour un tracteur de 55 chevaux quand il était neuf ??!! Une douzaine de stères arrivés à bon port malgré les petits soucis sur la route.

Arrivé péniblement au passage à niveau où je passe tout le temps en très faible vitesse pour éviter de secouer mes chars, les feux de signalisation d’un passage de train se sont allumés. Mon tracteur était déjà engagé sur les voies, j’ai regardé où était le train et les barrières se sont mis à descendre. Je ne pouvais plus traverser. Donc j’ai reculé (heureusement que la route était en pente) mais la barrière s’est posée et s’est accrochée dans ma fourche. J’ai dû avancer en baissant ma fourche et reculer pour libérer les voies de notre tendre SNCF. Le train est passé sans encombres, il s’est arrêté 50 ou 100 m plus loin, puis après quelque temps a avancé de quelques mètres pour voir si les barrières fonctionnaient toujours. Tout a marché, on a pu repartir sans encombres.

Sur le coup, je n’ai pas eu peur. Après je suis devenu bleu (de trouille) et là,six heures plus tard, je suis toujours bleu.

Bienvenue chez les Schtroumpfs, il ne nous manque plus que quelques champignons de la Nièvre. À bientôt.

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Semis et plantations pour la fin d’année.

Suite à mes semis du 11 juillet sur la parcelle 7, un petit visuel pour se rendre compte de la bonne pousse des légumes.

Au fond la 7,au premier plan la 4.

 

Deux rangs de carottes sur la droite, puis un rang de laitue à couper avec des radis et un rang de persil frisé et de chicorée à repiquer. Sur la gauche des carottes restant du printemps attendent ciboulette de pied ferme.

À noter : toujours un siège à proximité en cas de grosse fatigue, il faut être vigilent ! Sur le bas de la photo, la parcelle 4 avait été nettoyée en même temps, grelinée et paillée avec de la tonte pleine de feuilles en attendant les salades. Les chicorées ont été repiquées sur deux rangs, le troisième a été emblavé avec des plants de Pain de sucre pas très développés (chicorée amère) Cela a été fait fin de semaine passé le 7 ou 8 en jour feuille ???

Il faudrait que je parle de ces jours (feuille, fruit, racine et fleur) ainsi que de la lune (croissante ou décroissante, montante ou descendante) De quoi faire tourner en bourrique tout apprenti jardinier! Ma mère qui a fait du jardin toute sa vie (plus de 70 ans) semait tous ses légumes en vieille lune (après la lune pleine) ou décroissante si ça tilt mieux. Avec une précaution pour les semis de carottes : ils étaient semés en vieille lune aussi mais si possible en sagittaire. Une hérésie au vu des divers livres que je compulse : le sagittaire est un jour fruit donc non approprié au semis de légumes racines, pourtant elle avait tout le temps de très belles carottes. Le terrain, sa tendreté et sa profondeur ont plus de chance d’en être la cause.

Feuille A4. Je ne montre que les grosses !!! comme d’autres ne montrent que les vilaines, tout dépend de ce que l’on veut faire dire à la photo .

Demain semis et plantation de choux .

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De l’aide au jardin.

Hier, Steph, Seb et leurs enfants sont venus manger à la maison et ils m’ont fait un cadeau : une apprentie jardinier .

Elle est belle ma petite apprentie avec son chapeau rose. Je l’appelle Solène.

Ensemble nous avons déjà transplanté ce beau pied de piment. L’aide va être juste psychologique, c’est déjà bien.

Une dernière petite photo.

Merci pour ce cadeau, je vais penser à vous tous les jours.

 

 

Un fongicide naturel

J’ai des problèmes avec la vigne et les melons. Du mildiou est apparu avec ce temps très chaud puis froid et une petite pluie certainement pleine d’acidité et de pollution. J’ai traité 2 fois avec une bouillie cuprique mais bof ! Je vais essayer une mixture de ma composition (d’après différentes lectures) .

Ciboulette étant partie ce matin acheter des fromages de chèvre, je lui ai demandé de me rapporter du petit lait. J’ai donc préparé un mélange avec pour 3 litres de solution : 300 ml de petit lait, 300 ml de décoction de prêle passée au filtre à café et 300 ml de macération de sauge. Je vais traiter la vigne, les melons et quelques tomates plantées à l’extérieur de la serre. Auparavant, j’avais taillé la vigne au taille-haie, il y a quelques grappes malgré les gelées du printemps. Nous verrons si ce produit naturel est efficace .

Un peu cramés les melons

Nous achetons nos fromages de chèvre chez un voisin agriculteur, c’est un gaec qui produit des bovins de race charolaise et des fromages de chèvre AOP Charolais, il est situé au Montot à Oudry 71. Leurs fromages sont fameux, merci à eux pour le petit lait et leur gentillesse .

http://www.lafermedumontot.fr/

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Une petite station météo

Cet appareil m’a été offert pour mon anniversaire. C’est très instructif : par exemple ce matin à 7 h il faisait 5.5 degrés, pas chaud pour un 10 août ! Il transmet en direct les informations sur une tablette dans la maison. Il y a aussi une fonction alerte au gel, si on l’active bien sûr (en mars avril ce sera peut-être bien)

5,5° à 7h- 99 % d’humidité(outdoor), il faisait quand même 19.8 indoor

C’est vrai que la lune est très forte et le temps clair, mais il y a une grosse différence avec les journées à plus de 30 de la fin de la semaine passée .

A Lyon, le 3 août il faisait plus de 40. Vive Trump qui ne croit pas au réchauffement climatique.

Sur l’écran on peut voir la pression atmosphérique, la vitesse du vent, l’hygrométrie et bien sûr la pluviométrie. Chez nous il est tombé presque 11 mm mardi 8. Il en faudrait bien plus .

 

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C’est la fête au Dom.

La fête des saints du calendrier, plus personne n’y pense ni ne la souhaite et cela est plutôt bien.

Bien que je n’ai pas eu de cadeaux, ni de coup de fil, ni même un petit SMS, je suis content : Ce matin au réveil il pleuvait, pas une grosse pluie, dix mm dans le matin mais qu’est que ça fait du bien au jardin. Bien que ce soit le nœud de la lune où l’on ne doit pas jardiner, j’en ai profité pour mouliner un peu la parcelle 17 afin de pouvoir semer de l’engrais vert : un petit mélange personnel (avoine rude, phacélie , moutarde blanche et un peu de rave d’Auvergne) pas de trèfle ni d’autres légumineuses, trop longues à s’implanter, vu que je vais enfouir tout cela sous une bonne couche de feuilles, tontes, fumier et foin pour l’hiver, il n’y a pas d’intérêt .

Le dom qui travaille, du jamais vu, vous avez dû rêver !

Une petite vidéo pour voir ce bel outil très efficace pour briser les mottes ou pour ameublir un coin de jardin afin de semer de petites graines .

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Direction ouest

À l’ouest de la maison, du côté de la parcelle 18 dont je n’ai pas encore parlé, il y a une petite pelouse dans laquelle j’avais préparé une petite bande fin 2016 pour planter des fleurs.

une vue d’ensemble sur l’entrée de la cour et le four envahi par le lierre
Une première approche : notez ma chaise, mon poste de travail préféré et le faux puits qui était à l’origine au milieu de la terrasse .
la petite parcelle 18 plantées de fleurs : des soucis, des plantes poussées par hasard (une tomate et l’inévitable bourrache presque envahissante) et de belles fleurs dont nous avions récolté les graines au Parc de la Tête d’or à Lyon : trois sortes de marguerites, petites, grosses, grandes et des belles de nuit
La belle de nuit en fleur

 

 

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Un petit recoin

Dans la cour, sur la face nord du garage. Une petite bande de terre longe le mur. Pratiquement tout le temps à l’ombre, nous y avons planté des hortensias, des pervenches, un chèvrefeuille et un rosier grimpant sur le coin côté ouest.

Il y a quelques années, un pêcher est apparu, certainement issu d’un noyau jeté là. Nous l’avons laissé grandir et il a fini par fleurir et former quelques pêches. Mais combien de difficultés pour obtenir des fruits, cet arbre craint le gel (planté au nord dans le courant d’air, ça arrange bien) et surtout il est très sensible à la cloque. A force de patience, il y a deux ans, j’ai récolté une douzaine de fruits : des nectarines jaunes. En 2016 les fleurs ont été détruites par les pluies du printemps et par une bonne attaque de cloque. Cette année, j’ai planté des ails au pied de l’arbre. Après floraison j’ai pulvérisé une décoction de prêle deux fois à quinze jours d’intervalle : la cloque a été stoppée. Malgré le gel tardif, il reste une quinzaine de fruits qui prennent belle allure. Ciboulette pourra faire une tarte ou un peu de confiture cet automne .

 

Encore un peu de pagaille.
Chèvrefeuille et quelques roses qui dépassent .

 

Gare aux guêpes et frelons .

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