le kiwi, la 10 et la 12

Le kiwi, planté il y a plus de 20 ans n’a pas supporté le gel de fin avril, malgré toutes mes précautions (il n’y a quasi pas de fruits cette année). Sous le kiwi, j’ai mon hôtel à insectes et un treillage bricolé ce printemps où grimpent des ipomées. Sur la 10, trois pieds d’artichaut plantés en 2016 sous lesquels j’ai repiqué en mars des choux fleurs. Les artichauts se sont très bien développés et ont étouffé mes choux. Par contre, nous avons récolté une vingtaine de têtes d’artichauts très tendres et bonnes.Sur la parcelle 12 contre la serre, j’ai replanté deux poivrons doux et deux aubergines et laissé pousser sous le kiwi des capucines .

Un filet sur la serre la protège du soleil. Qu’il y a t -il dans cette serre ? ce sera le prochain article.

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9 et 11

Sur la parcelle 9, un semis de carottes et de poireaux a été effectué en mai. Avec une très mauvaise levée et un semis naturel de fenouil grain de l’année passée, j’aurai quelques carottes.  J’ai aussi repiqué quelques poireaux dans mes fraisiers. Il y a aussi des pieds de persil montés à graine. Sur la 11, avec quelques fraisiers, j’ai repiqué des rutabagas.

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Le début des haricots

Sur la parcelle 8, des panais, du persil, des carottes et des salades ont été cultivés en 2016. Cette année à la place des salades j’ai semé des carottes. Sur le reste de la parcelle, des haricots nains (fingourmet) et un pied de ramant (haricots de la reine d’Angleterre) dont 5 grains m’avait été offert gracieusement par la responsable d’un jardin pédagogique visité fin octobre vers Autun. www.alosnys.com

Ils sont peu productifs malgré les nombreux bourdons venant les butiner tous les matins. Le grain est bleu, le feuillage plutôt pâle et les fleurs d’un beau rouge. Le persil est toujours là, il a été semé en fin d année 2016.

Les fingourmets ont été cueillis deux fois, ceux de la reine sont des haricots à grains. À noter, à gauche mes semis du 11 cachés sous un brise-vent, pas de problème avec les chats, protégé du soleil et moins de colmatage lors des arrosages.

 

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Muffins aux groseilles

Bien sûr, si les cassis sont mûrs, les groseilles le sont aussi même si elles ne voient pas beaucoup le soleil, car elles sont derrière les cassissiers.

J’en ai de deux sortes :des blanches et des rouges.J’en fais habituellement des confitures souvent en mélangeant les deux variétés, car les rouges amènent de l’acidité et les blanches sont plus douces.

                                              

Pour Christophe qui repart en Guadeloupe, j’ai fait quelques muffins avec les groseilles rouges pour le remercier de sa patience…

La recette :

pour 18 muffins

250 g de groseilles

100 g de beurre ramolli

200 g de sucre

2 gros œufs (j’en ai mis 3 moyens)

350 g de farine avec levure incorporée

1 pincée de sel

1 sachet de sucre vanillé

200 ml lait

50 ml de crème

D’abord, j’ai lavé et égrappé les groseilles afin de ne plus avoir du tout de tiges (c’est le plus long)

Ensuite, j’ai travaillé le sucre et le beurre mou avec le robot, ajouté les œufs un à un, puis le sucre vanillé, la farine et le sel .

Délicatement avec une spatule, j’ai rajouté le lait et la crème.

Et enfin j’ai ajouté les groseilles en essayant de ne pas trop les écraser

J’ai mis ma pâte dans un moule à muffins en silicone .

Au four (préchauffé à 200°) pendant 15 min environ.

On vérifie la cuisson avec la pointe d’un couteau qui doit ressortir sèche.

Ne pas démouler tout de suite. J’ai dû aussi beurrer mon moule car avec le jus des groseilles ça avait tendance à coller.

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Le cri cri

Aujourd’hui pas de jardinage c’est le nœud de la lune, nous avons scié du bois avec mon fils. Dans le fond de la pile, nous avons trouvé un énorme crapaud, adopté aussitôt, il a été transporté au jardin en faisant un peu de place sous mon petit hôtel à insectes. Il a l’air de bien s’y plaire, ça aime bien les limaces et cela m’arrangerait d’en avoir moins. Restera-t-il là allez savoir? On l’a nommé CRI CRI.

la fin des pois et fèves

Hier après être passé chez mon beau frère pour chercher une benne pour rouler du bois et après à une visite de son jardin, j’ai changé d’avis. J’ai nettoyé les parcelles 4 et 7.

Sur la 7,en 2016, après des patates précoces (carlita) j’avais semé des haricots (qui ont gelé fin octobre malgré un film d’hivernage) des radis roses et des radis noir. Les deux rangs de radis nous ont occupés tout l’hiver et en en donnant beaucoup. Ce printemps j’ai semé des pois mangetout, des fèves et un peu de petits pois. Récolte correcte. J’ai donc tout arraché, greliné (assez tendre le terrain) et semé de la laitue à couper, des carottes de Meaux, du persil frisé, un peu de scarole et quelques radis ronds à travers.

Sur la 4, suite à des pommes de terre, buttées et paillées, et un repiquage de chicorées mulchées avec des feuilles, cette année j’ai repiqué des oignons (blancs rouges et jaunes) ainsi qu’un rang d’échalotes rondes. J’ai tout arraché vu les pluies de ses derniers jours et des signes de pourrissement (oïdium). Puis j’ai préparé la parcelle pour une culture d’automne.À pailler à la tonte dans l’attente.

À noter : le jardin de mon beau frère et de sa femme (elle aime bien jardiner) est super. De très beaux légumes, pas de traitements, j’ai encore des choses à apprendre et c’est bien.

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la brousse de la 5

Il faut que je me dépêche de présenter mes derniers lots avant l’hiver. En 2016, sur la parcelle 5, j’avais semé un rang de haricot (fingourmet) et repiqué des salades sur les bords, dans le reste j’avais repiqué un mélange de fleur mellifère semé en barquette. En fin d’année après nettoyage et griffage, j’avais repiqué des chicorées d’hiver (géante maraîchère et ronde verte à cœur plein) mulchées avec des tontes pleines de feuilles tombées. Au printemps, les fleurs s’étant ressemées, j’ai laissé faire sur les deux tiers, et planté des melons sur le reste de la parcelle.

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la diversité dans l’assiette

En ce mois de juillet la grosse saison des récoltes commence.
Pour le repas de ce midi, j’ai voulu compter le nombre d’ingrédients du jardin utilisés pour un seul repas et pourtant le menu était très simple :
Salade du jardin avec les 2 premières tomates de la serre.
Pintade agrémentée de romarin, thym, laurier et ail du jardin
Haricots verts (les tous premiers: trop bons avec juste un peu d’ail et de persil et un bon morceau de beurre)


soit 8 ingrédients différents et seulement quelques pas à faire pour les cueillir!

Je ne veux pas me présenter comme une cuisinière hors pair. Comme beaucoup je prends des recettes dans les livres ou sur internet, mais je veux montrer qu’on peut tirer parti de tout ce qu’on trouve au fil des saisons pour faire des menus variés et sains.

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Gelée de cassis

Il y a deux jours, j’ai cueilli un grand seau de cassis. Ils sont maintenant bien mûrs et commencent à tomber.

ma dernière cueillette

je vais en faire de la gelée .
Depuis l’année dernière, je possède un extracteur de jus et je m’étais dit que ça simplifierait le travail .
J’ai fait une première expérience en mettant les baies de cassis juste lavées dans l’extracteur .
j’ai eu beaucoup de pulpe et un jus beaucoup moins clair qu’en faisant comme les autres années ou je passais mes baies (après les avoir fait précuire) au moulin à légumes.
De plus quand j’ai mis le sucre, ça m’a fait des grumeaux.
La gelée résultante était moins foncée et moins prise et avait quelques grumeaux. Le goût était un peu différent et je ne sais pas si elle va bien se conserver.

Donc deuxième expérience avec des cassis plus mûrs que j’ai passé à l’extracteur après les avoir fait bouillir 5 min environ .

cassis avant l’ébullition
les baies après ébullition

La pulpe recueillie à la sortie de l’extracteur est épaisse et très foncée.

J’ai fait ma gelée ensuite en ajoutant autant de sucre que de pulpe.

J’ai fait bouillir environ 10 min en écumant le dessus et j’ai une gelée très belle, bien prise et très bonne.

.

Conclusion : je pense qu’il est préférable de ne pas trop modifier les recettes qui ont toujours bien marché par le passé !

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naissance du premier machaon

 

Ce matin, j’ai eu le plaisir de voir un beau machaon dans le bocal où j’avais placé mes deux chenilles trouvées sur les fenouils il y a quelques semaines.
Je connaissais déjà ce papillon pour en avoir déjà “élevé” dans mon enfance. Jusqu’à maintenant je n’en avais jamais vu que sur les carottes. Il faut dire que nous n’avions pas de fenouil dans le jardin de mes parents !


J’avais peur que des oiseaux mangent les chenilles et donc j’en ai gardé deux dans le bocal avec des feuilles de fenouil et de carottes. J’ai renouvelé les feuilles tous les jours et enlevé les “crottes”.
je leur avais mis aussi une tige de bois et au bout de quelques jours, les chenilles se sont accrochées à la tige et se sont transformées en chrysalide.
Et ce matin, un beau papillon, je l’ai laissé se sécher quelques heures, j’ai pris des photos et j’ai ouvert la fenêtre…

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Les machaons de la 3

Après des pois  mangetout (Carouby  de Maussane ) et des fèves ( D’aguadulce ) semés en février 2016,  qui avaient été paillés avec du broyat et de la tonte, j’avais repiqué en juillet, des choux fleur : Merveille des quatre saisons et des choux d’hivers : Milan de Pontoise. Les gelées précoces de l’automne avaient fait de gros dégâts . Cette année, après grelinage, j ai planté deux rangs d’oignons jaunes ( Paille des vertus) en février. Début mai, j’ai semé des panais et repiqué des fenouils sur le reste de la parcelle 3.

 

Les fenouils ont vu apparaître début juin, et nous aussi, des chenilles de machaon. Anne Marie adore les papillons et autres araignées,nous avons donc élevé deux chenilles machaons dans un grand bocal. Anne vous en dira plus en partie cuisine (on ne les mange pas ) on les préfère vivants,  c’est si beau le matin de découvrir ce papillon volant dans le jardin.

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La surprise du dom

Non signalé dans les plans du jardin, un parterre potager a été créé dans le pré à moutons sur une ancienne place de feu. Il y a quelques années,  avant le recyclage et l’utilisation de presque tous les déchets du jardin,  nous faisions brûler les cartons,  papiers,  sciure (je chauffe au bois et je le façonne l’ hiver ) et autres déchets du jardin.  Il restait un dépôt de sciure et de  chutes de sciage avec quelques branches de taille et de végétaux non compostés. A l’ automne 2016,  en étalant tout cela et avec un apport de fumier, de tonte,  de feuilles,  de foin,  un parterre circulaire d’environ deux mètres trente de diamètre a été créé. Ce printemps,  une fois barricadé à cause des moutons,  j’ai planté des topinambours,  des courges musquées,  des potimarrons,  un pied de patate douce,  des courgettes rondes, et même trois ou quatre plants de haricots  d’Espagne . QUELLE  JOLIE PAGAILLE .

Vigne et framboisiers

Petite la vigne !

4 pieds de raisin de table, rosé et blanc, il y a très peu de grappes cette année avec les gelées d avril. Ce matin, après un petit désherbage (manuel bien sûr) j’ai renforcé le mulch au pied des cordons (trois à quatre mètres par pied) avec une nouvelle épaisseur de broyat (du thuya fraîchement passé au broyeur). Le thuya empêche bien la pousse des adventices et forme à terme un joli terreau noir, certainement un peu acide. À vérifier.

Les framboisiers sont des remontants, ils ont été mis en place en 2015. Taillés dans l’hiver, ils sont aussi paillés avec du BRF (broyat) de thuyas ou de cyprès. Dans le Jura, et certainement partout en altitude, les framboisiers poussent spontanément après les coupes blanches de sapins et d épicéas. Enfant, avec mes sœurs, nous en avons fait de belles récoltes dans le haut Doubs deux et trois ans après le passage des bûcherons. Mes framboisiers sont très drus, peut être à cause des mulchs de conifères. Avec les remontants, la meilleure récolte est celle de l’automne sur les pousses de l’année .

les cordons de vigne sont à droite, les framboisiers en prolongement.

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Et encore des patates

La parcelle 17 a été créée fin 2016 au bord de la clôture du pré dans le verger. Il y a deux petits cormiers et un poirier inclus dans la zone  jardinée. J’ai utilisé une méthode mixte sans le savoir ( Jean PAIN et BRF) avec une légère variante,  le compost a été remplacé par du fumier de mouton. Après fauchage,  un chemin a été tracé avec du broyat de branches de cyprès ou de sciure de sapin, puis j’ ai étalé directement sur le terrain (très très lourd ) une bonne couche de fumier. Une couche épaisse de broyat de thuya , de broyat de branches de cerisier ou de tonte pleine de feuilles de bouleaux avec pas mal de taille de berbéris ( bonjour les doigts ) a été étendue, formant trois sortes de mulch sur une longueur de 18m. Une troisième couche de feuilles et de foin grossier a été rajoutée.

En avril,  des pommes de terre ont été plantées au plus près du terrain d’origine, toujours très lourd et gorgé d’eau sur deux rangs ( chérie et safrane ). Des butternuts et des potimarrons ont été repiqués à chaque bout.

Dans le verger, le long de la haie, des arbres de haute tige sont implantés depuis une dizaine d années,  coté  pré quelques fruitiers ( pommiers,  pruniers, poiriers ), pas très productifs,  je ne m’en occupe pas assez!

 

Les patates

Parcelle 2, en 2016 j’ai planté des oignons et des échalotes, la récolte n’a pas été exceptionnelle vu la pluviométrie en plus j’avais mulché avec du BRF et de la tonte (à ne pas faire) cela favorise l’oïdium. Après récolte, j’ai semé un engrais vert (trèfle, moutarde, phacélie, avoine rude, rave d’Auvergne). Après destruction,  j’ai effectué un apport de fumier de mouton, de l’herbe pleine de feuilles récoltées sous mon fameux, chêne (il faut suivre!)  et pour finir un peu de foin pour éviter que toutes les feuilles se sauvent au premier coup de vent !! Au printemps,  je pensais planter des choux (fleur, tête de pierre et autres cabus) , mais vu l’état du terrain:  riche, gras à souhait, j’ai préféré planter des pommes de terre. J’ai le défaut de planter serré, dans cette  bande de six mètres j’ai planté environ 80 pieds sur trois rangs, avec trois variétés différentes.

Pour le moment aucun traitements n’a été effectué , cela fait 4 ou 5 ans que je n’ai pas vu de doryphore,  juste un peu de mildiou l’année dernière .

A NOTER: La parcelle 17 plantée également en pommes de terre fera l’objet d’un prochain article

la photo suivante a été prise mi mai.

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Ails et fraisiers

En parcelle 6, une culture de fraisier installée au printemps 2016 sur deux rangs avec des salades de chaque coté. J’avais recouvert la parcelle de tonte et de broyat de seringas, jolie récolte en fin d année bien que pas mal de pourriture grise (à cause du BRF). A l’automne j ai ajouté un troisième rang et planté en interligne des ails violets pour prévenir la pourriture (très efficace). Nous avons eu pas mal de fraises, il en mûrit  toujours. Aujourd’hui j’ai arraché les ails.

j’ ai nettoyé les fraisiers, coupé les stolons et paillé avec de la paille de blé récupérée chez mon voisin transporteur de bestiaux, puis repiqué quelques plants de poireaux entre les rangs. Il n y a plus qu’a attendre la récolte de cette automne (fraisiers remontants)

A NOTER : une plante a poussé dans les fraisiers, elle sert à traiter les verrues ( fleurs jaunes, sève orange). Je ne connais pas son nom.

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Visite de la parcelle 1

Nous ferons petit à petit le tour du jardin.

La parcelle 1 a été plantée en salades d’ hiver fin 2015 dont les restes ont été mulchés au printemps 2016. J’ai planté des pommes de terres, elles ont été buttées et mulchées avec de la tonte  et du broyat feuillu. Après la récolte des pommes de terre j’ai fais un semis de navet, de laitue à couper et de mâche.

Cette année le travail a débuté tard avec un bon grelinage (terrain argileux et très compact).  Un semis de tournesol, maïs pop-corn  et le repiquage de batavia en deux fois ont été effectués ce printemps. Cette fin semaine, la pluie étant là, je repiquerai quelques panais semés  dans un pot (plus facile à faire germer).

mulch de broyat feuillu

A NOTER: un petit carré de mâche a été laissé monter à graine pour faire un peu de semences.

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huile de romarin

L’année dernière, j’avais fait 2 bouteilles d’huile au basilic selon une recette du site cuisine basse température

Huile au basilic arômatisée à basse température

c’est une des meilleures façons que j’ai trouvé d’avoir le parfum du basilic dans mes pâtes, sur une pizza quand il n’y a plus de basilic au jardin.
C’est facile à faire, ça se conserve bien même en dehors du réfrigérateur.

Donc, cette année je compte bien en refaire.

Pour l’instant, j’ai fait un essai avec une petite bouteille d’huile de romarin selon une recette du même site. C’est peut être d’un intérêt moindre car du  romarin j’en ai  toute l’année. Nous allons goûter et si c’est concluant j’en préparerai  peut être pour offrir.

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plan du jardin

Voici les plans approximatifs  de mon jardin et verger d environ 500m² dont 140 à 150m² cultivé en légumes et fleurs.

A plus  pour des explications détaillées.

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tarte aux framboises

Depuis quelques jours les framboises commencent à arriver. Je n’étais pas pressée car j’en ai eu jusqu’en novembre dernier et j’ai encore des coulis au congélateur!

Mais les belles framboises m’ont donné envie de faire une tarte. Une pâte sucrée, une fine couche de frangipane, des framboises bien alignées et le tour est joué…

La pâte et la frangipane ont été cuites ensemble la veille et les framboises ont été nappées d’une gelée de framboises pour les faire briller et les sucrer.

sympa,non ?

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