Direction ouest

À l’ouest de la maison, du côté de la parcelle 18 dont je n’ai pas encore parlé, il y a une petite pelouse dans laquelle j’avais préparé une petite bande fin 2016 pour planter des fleurs.

une vue d’ensemble sur l’entrée de la cour et le four envahi par le lierre
Une première approche : notez ma chaise, mon poste de travail préféré et le faux puits qui était à l’origine au milieu de la terrasse .
la petite parcelle 18 plantées de fleurs : des soucis, des plantes poussées par hasard (une tomate et l’inévitable bourrache presque envahissante) et de belles fleurs dont nous avions récolté les graines au Parc de la Tête d’or à Lyon : trois sortes de marguerites, petites, grosses, grandes et des belles de nuit
La belle de nuit en fleur

 

 

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Un petit recoin

Dans la cour, sur la face nord du garage. Une petite bande de terre longe le mur. Pratiquement tout le temps à l’ombre, nous y avons planté des hortensias, des pervenches, un chèvrefeuille et un rosier grimpant sur le coin côté ouest.

Il y a quelques années, un pêcher est apparu, certainement issu d’un noyau jeté là. Nous l’avons laissé grandir et il a fini par fleurir et former quelques pêches. Mais combien de difficultés pour obtenir des fruits, cet arbre craint le gel (planté au nord dans le courant d’air, ça arrange bien) et surtout il est très sensible à la cloque. A force de patience, il y a deux ans, j’ai récolté une douzaine de fruits : des nectarines jaunes. En 2016 les fleurs ont été détruites par les pluies du printemps et par une bonne attaque de cloque. Cette année, j’ai planté des ails au pied de l’arbre. Après floraison j’ai pulvérisé une décoction de prêle deux fois à quinze jours d’intervalle : la cloque a été stoppée. Malgré le gel tardif, il reste une quinzaine de fruits qui prennent belle allure. Ciboulette pourra faire une tarte ou un peu de confiture cet automne .

 

Encore un peu de pagaille.
Chèvrefeuille et quelques roses qui dépassent .

 

Gare aux guêpes et frelons .

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Masque concombre,miel,gingembre

Les concombres sont actuellement en pleine production, nous en cueillons 3 ou 4 par semaine et il devient difficile de tout manger à deux, nous en donnons aussi volontiers mais nous sommes malgré tout un peu débordés.
D’autant plus que c’est un légume qui est bon très frais quand il est gorgé d’eau et qui ne se conserve pas trop longtemps.
Alors je me suis souvenue que le concombre était bon pour la peau et j’ai voulu le tester en masque pour le visage.
J’ai cherché une recette et comme d’habitude je l’ai « arrangé » à ma sauce !
Voilà donc ma recette testée et approuvée par moi-même.

Ingrédients
1/2 concombre
1c à soupe de miel (d’acacia pour moi)
3 cm de gingembre frais

et avec du miel local !

Réalisation
J’ai coupé le concombre en rondelles, épluché le gingembre .
J’ai mis le tout avec le miel dans un mixer .
J’ai mixé .
Ensuite au réfrigérateur pendant 1 h environ.
Le mélange n’était pas très homogène (j’aurai peut-être dû le mixer plus longtemps)

Je me suis appliquée cela tant bien que mal sur le visage et je l’ai gardé 20 bonnes minutes. C’était un peu froid au départ mais finalement pas désagréable

Spéciale dédicace à Mag

À vrai dire, j’ai fait ce masque un peu pour rigoler et bien j’ai été agréablement surprise .
Ma peau a bien apprécié, elle était toute douce comme retendue et réhydratée.
Comme il en reste pas mal, je le garde au frigo et je recommence demain .
Et puis ce n’est pas les concombres qui manquent…

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La surprise 2 : le retour

De retour après deux jours d’absence, une surprise m’attendait. En faisant un tour du jardin ce matin j’ai découvert que les brebis avaient trouvé les courges et potimarrons à leur goût. Quelques fruits dépassant des barricades avaient été mangés, cassés ou attaqués. Je me suis donc dépêché de bricoler une troisième clôture avec du grillage récupéré chez une voisine qui voulait le donner au ferrailleur. Je n’ai plus besoin de m’inscrire au concours cantonal du plus grand menteur ( meilleur producteur de courge) je suis battu d’avance. Ce sera pour l’année prochaine .

 

Mes brebis adorent les légumes et fruits de toutes sortes. Elles dévorent tout ce que je leur donne : vielles patates, petits kiwis, bettes montées, salades, choux, pommes, entre autres. Et les courges !

 

Les envahissantes

Dans le jardin poussent une ribambelle de plantes que nous essayons de contenir : pissenlits , amarantes , panics , chardons , liseron et j’en oublie quelques autres . Mais j’ai surtout trois belles grimpantes : la bryone dioïque qui recouvre les haies au bout de peu de temps , il faut alors arracher sa racine souvent très grosse .

La plante dans les seringuas et sa racine dont il manque un bon morceau, la casserole fait 20 cm.

La douce amère avec ses jolies fleurs violette et jaune culmine à 2 ou 3 mètres dans la haie.

Et enfin la vigne vierge qui grimpe dans les bouleaux au fond du jardin .Elle se propage surtout par ses racines traçantes qui courent à une dizaine de cm de profondeur , j’en arrache des dizaines de mètres tous les ans dans la haie buissonnante  . Son feuillage rouge est très beau l’automne dans les arbres .

 

 

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Les artichauts

Plantés en novembre 2016,les trois pieds d’artichauts offert par mon fils Matt, ont bien prospéré. Ils ont donné vingt têtes tendres et goûteuses. Ils ont séché doucement et les nouvelles pousses sont apparues, j’ai donc coupé les vieilles tiges pour donner de l’air aux jeunes pousses, promesse d’une bonne récolte le printemps prochain. Je repiquerai dans le coin de cette petite parcelle (10) un quatrième pied cet automne à partir d’œilletons prélevés sur les autres pieds. Ce coin est occupé par des tomates plantées tard et des capucines de semis naturel. Suite a la taille des vieux pieds, j’ai desserré le terrain à la fourche (efficace dans les petits carrés et sur les bords des layons, pour ramener la terre dans la parcelle et contenir la pousse des allées)

Au printemps en pleine production .

Trois beaux pieds de nouvelles pousses : une douzaine d’œilletons sont apparus. Des capucines et des tomates sont sur la gauche (non tuteurées) Voyez sur la droite un chou fleur restant du printemps et un rutabaga, à l’extrême droite les fraisiers. J’arrose souvent, car le kiwi juste derrière a ses racines qui pompent l’eau tant qu’elles peuvent. Suite au grelinage à la fourche j’ai ajouté une petite épaisseur de tonte .Enregistrer

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La récolte des pommes de terre

En espérant la pluie et afin de pouvoir repiquer mes choux et semer la parcelle 17 avec de l’engrais vert j’ai arraché mes patates. En deux fois car bien qu’il n’y ait que 30 m², c’est le genre de travail qui me casse le dos.

Sur la photo, au premier plan un cormier.

Je suis content de ma récolte, environ 90 kg pour à peine 30 m². Dans la parcelle 2, j’ai trouvé une énorme chenille jaune, drôle de bête .

Grosse de deux cm et longue de dix, c’est la plus grande que j’ai vu. Il s’agit d’une chenille de sphinx à tête de mort

 

 

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Haricots verts à l’italienne

Cette recette est issue d’un ancien livre de cuisine qui était donné avec les cocottes-minute Seb.
Ma mère cuisinait les haricots très souvent à l’italienne et moi j’en ai toujours fait aussi.
Les enfants qui  rechignent à manger des haricots verts apprécient souvent cette recette .
Je n’ai jamais essayé de la faire sans cocotte-minute mais j’imagine que ça doit être possible avec un temps de cuisson plus long bien sûr.

Pour la préparation il vous faut :
1 kg de haricots verts effilés
500 g de tomates pelées
3 cuillères d’huile d’olive
1  gros oignon
1 gousse d’ail
bouquet garni
sel, poivre, piment (facultatif)
du persil haché

Épluchez les tomates et coupez les en gros morceaux

Hachez grossièrement l’oignon et l’ail

Faites revenir vivement les tomates et les oignons dans la cocotte contenant l’huile d’olive.

Ajoutez les haricots, le bouquet garni et l’ail.

Salez, poivrez.

Fermez la cocotte et laissez cuire doucement 10 min à partir du chuchotement de la soupape

Au moment de servir, ajoutez du persil haché et une noix de beurre.

Personnellement je ne pèse rien et je pense que je mets plus de tomates que dans la recette originale.On peut aussi mettre du piment de Cayenne ou Espelette si on aime.

J’ai au jardin des tomates bien mûres (j’ai mis surtout des noires de Crimée et les haricots dont je ne connais pas le nom sont excellents. Dom me les cueille tout fins.

Comme j’avais beaucoup de haricots, j’en ai mis aussi en bocaux.

J’ai précuit mes haricots comme la recette ci-dessus, je les ai mis dans les  bocaux puis à stériliser pendant 30 min.

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Le dom fait des erreurs

Je vous en montrerai deux ce soir, mais j’en fais plus. La première erreur se situe dans la serre où j’étais content d’avoir fait pousser dans mes semis de printemps un pied de piment thaï (la seule pousse d’un semis de dix graines) il était beau et a requis tous mes soins. La floraison ne m’a pas surpris, ne connaissant rien à cette culture. À la formation des gousses, et après une remarque de Ciboulette, mon cerveau a enfin « tilté » : ce n’était pas un piment ! Seulement une plante envahissante que j’ai récupérée dans du terreau de feuilles. Cette plante a donc été vivement arrachée de la serre. Donc pas de piments Thaï à voir pousser et pas de graines à récolter cet automne .

Ses fructifications rondes ont trahi cette belle envahissante : La douce amère .

La deuxième, est une drôle d’histoire. J’ai semé du mais pop-corn au printemps, et pensant que cette plante ne devenait pas très haute, j’ai semé derrière des tournesols. Nous ne profitons pas des fleurs de tournesol, le mais bouche la vue, il fait bientôt trois mètres .

Les soleils cachés à l’ombre des maïs, super…

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les choux de la 16

Aujourd’hui, j’ai eu envie de cuisiner les petits choux bien pommés qui me faisaient de l’œil à chaque fois que j’allais au potager .
Le chou étant plutôt un légume d’hiver, quand il fait chaud on a pas toujours envie d’en manger surtout qu’à cette période le jardin regorge de légumes de toutes sortes.
Mais la météo étant plus fraîche, je me suis laissé tenter par les choux.
J’en ai pris deux, car ils ne sont pas bien gros et puis ça fera plusieurs repas !
Ils étaient bien ronds, pas tachés et à peine habités (seulement 2 bébés escargots dans les feuilles).
Parfois, je blanchis le chou.Il parait qu’on le digère mieux et que le goût est moins fort mais là il s’agissait de petits choux bien frais donc je les ai cuisinés tels quels.
J’ai cueilli aussi 3 carottes normales et une jaune, un oignon, un bouquet garni (laurier, thym, persil)


J’ai eu besoin aussi de sel, poivre, cumin en poudre et un cube de bouillon de bœuf.
parfois je rajoute du lard fumé mais je n’en avais pas alors j’ai fait sans !
Après avoir tout nettoyé, lavé, j’ai coupé mes choux en quatre, mon oignon et mes carottes en rondelles
J’ai mis une couenne dans le fond de ma cocotte minute, tous les légumes par-dessus, sel, poivre, cumin,le bouquet garni et le bouillon obtenu avec le cube et un verre d’eau bouillante


J’ai fermé ma cocotte et laissé cuire 1 h environ (ma vieille cocotte minute fuit un peu)
Il y avait une bonne odeur de chou, laurier et cumin dans la cuisine.
La cuisson était parfaite. On a mangé cela avec des saucisses de Toulouse que j’avais grillé au barbecue.J’aurai aussi pu les faire cuire avec le chou bien sûr.
C’était très bon, un peu sucré sans doute à cause des carottes. Le cumin n’est pas indispensable mais on aime bien et ça se marie très bien avec le chou.

En entrée, une tomate et 1/2 concombre en salade et voilà un repas bien copieux

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Du BRF

J’ai récupéré chez Alain,mon voisin et mon meilleur fournisseur de matière organique (taille, tonte, feuilles et paille) une bonne quantité de branches de thuya. Cela fait quelques jours que je broie à temps perdu. Un bon tas de broyat s‘est formé (environ 2 m cube)

J’ en ai mis une couche sous la vigne, le reste va attendre. J’ai aussi rabattu deux arbustes dans la haie buissonnante, leur broyat très feuillu va être utilisé rapidement .

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Les haricots de Mag

Le dernier gros coup de vent a fait verser notre plantation de haricots de la reine. Je suis désolé Magali, mais les pousses des deux grains que tu m’avais fait planter, ont été cassées.Étant de bonne foi, je te rendrai tout de même quatre grains cet automne, un gain de 100 % c’est bien ?

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Le tressage

Comme promis avant-hier, une petite démo rapide, je ne suis pas pro de la chose. Je tresse à trois brins comme une natte de cheveux, avec quelques loupés une fois à gauche ou à droite comme ça m’arrange. L’important étant que les bulbes restent bien accrochés lorsqu’on les pend.

tressage oignon

La totalité de mes cueillettes, nous avons pour faire cet hiver . De gauche à droite : oignons jaunes, oignons blancs et rouges ( moins nombreux, déjà mangés ) ails et échalotes. Dans le cageot à droite,  mes ails à repiquer cet automne  et des échalotes à planter en février prochain .

Depuis quelques jours, ça bugg grave sur internet, on a pas pu insérer la vidéo, cliquez sur tressage oignon . Désolé du retard pour tous ceux qui attendent mes articles avec impatience. Merci à tous.

Avez vous des problèmes de débit sur l’ordi ?

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Les ails, échalotes et oignons

Les divers bulbes et caïeux ont été ramassés et mis à sécher, à l’ombre pour les ails et échalotes, au soleil pour les oignons afin que les tiges sèchent plus facilement. Les oignons n’étaient pas tout à fait mûrs, mais déjà assez gros et couverts en partie (parcelle 3) par des repousses de soucis. Ils étaient mieux à sécher au milieu de la cour. En zone de culture on les lève de terre pour arrêter leur croissance et les faire mûrir (les gros oignons étant invendables). Nous aimons les gros oignons, mais Ciboulette, ma cuisinière préférée, aime aussi les plus petits (plus fins au goût) .

Petits les oignons de ce côté, tout près des peupliers dont les racines superficielles pompent beaucoup d’eau!

Demain, tressage des bulbes. Bonne soirée à tous.

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fenouils et tomates

Le fenouil est traditionnellement cuisiné dans le midi et ne fait pas partie de la culture culinaire du Charolais.

En ce qui nous concerne, nous ne cultivons du fenouil que depuis peu de temps et je ne sais pas très bien le cuisiner donc je fais des essais.
La semaine dernière, j’ai voulu faire du fenouil braisé. Je ne l’ai pas blanchi préalablement et je ne l’avais pas assez coupé, il était donc dur malgré une cuisson longue.

Aujourd’hui, j’ai voulu retenter l’expérience et c’était plutôt réussi

J’ai utilisé :

2 beaux bulbes bien frais

500 g de tomates(du jardin bien sûr)

1 gros oignon

2 gousses d’ail

huile d’olive, sel, poivre

un bouquet de persil plat

Recette :

Laver les bulbes, enlever les tiges, le  » toupet » vert et les premières feuilles qui sont plus dures

Faire blanchir les bulbes entiers 5 min à l’eau bouillante

Les égoutter, les passer sous l’eau froide

Émincer les oignons et les faire revenir 5 min dans une cocotte avec un peu d’huile d’olive.

Ajouter les fenouils préalablement coupés en gros quartiers et faire revenir doucement 10 min de plus (sans colorer)

Peler les tomates (facile si elles sont du jardin et bien mûres), les couper en quartiers et les ajouter dans la cocotte

Peler les gousses d’ail et les mettre entières avec le reste

Saler, poivrer.

Laisser mijoter à découvert 30 min en remuant de temps en temps.

Avant de servir ajouter le persil plat haché grossièrement. 

Eh bien c’était très bon. Je l’ai servi avec des pâtes (ça aurait sans doute aussi été très bien avec du riz blanc) et une omelette au cerfeuil . 

La mère des lapereaux s’est régalé avec les feuilles de fenouil, les poules avec les peaux de tomates et les coquilles d’œufs.

Rien de perdu !

 

 

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le cacou de s’rises de la nénette

La Nénette, c’était ma grand-mère (Anne Antoinette pour l’état civil).
L’été les cerises abondaient souvent et ma grand-mère faisait des cacous que je dévorai. Plus tard, elle m’a donné sa recette du  » cacou »sorte de clafoutis non levé spécialité de la région. La particularité de ce  » cacou »est qu’il doit se faire avec des petites cerises noires très sucrées dont on enlève pas les noyaux. Cela lui donne un goût particulier et surtout le bon jus de cerises reste à l’intérieur du gâteau

.
C’est une recette facile,rapide, inratable.
Il n’y a même pas besoin de peser les ingrédients :
2 gros œufs entiers
6 cuillères à soupe de sucre
6 cuillères à soupe de faine
1 paquet de sucre vanillé(facultatif)
4 cuillères à soupe d’huile ou son équivalent en beurre
6 cuillères à soupe de lait
1 pincée de sel
Des cerises en abondance (au moins 500 g)
Préparation :
Mélanger rapidement les œufs avec le sucre, le sucre vanillé, la farine et le sel, un peu comme pour une pâte à crêpes.
Ajouter l’huile puis le lait froid
Beurrer et fariner un moule de 22 cm de diamètre
Mettre les cerises non dénoyautées dans le moule.
Recouvrir avec la préparation.
Mettre au four moyen pendant 40 min

 


Bon appétit mais attention aux noyaux !

On peut aussi le faire cuire à la poêle comme une crêpe épaisse mais ç’est un peu plus gras, car il faut rajouter du beurre ou de l’huile dans la poêle pour que le jus sucré des cerises n’attache pas et ce n’est pas toujours facile à retourner
On peut faire la même recette avec d’autres fruits en particulier avec des pommes ou des poires .

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LES LAPINS

Pas nombreux les lapins, seulement une mère et sa nichée, les petits sont nés début de ce mois. Ces jours avec les fortes chaleurs, ils sortent du nid et s’étalent sur le béton de la cage où ils trouvent un peu de fraîcheur. Assez sympa ?

Ils n’ont pas encore les yeux ouverts. La mère surveille de loin, et c’est beau.

Pour Estelle la plus belle nivernaise du monde, à plus ma chtite.

 

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Crème de cassis

La crème de cassis est un classique de notre région.
On l’offrait dans des petits verres à liqueur à la fin des repas du dimanche ou simplement quand quelqu’un venait l’après midi « boire le café ». Mon frère et moi, enfants, n’y avions pas droit mais dès que les invités avaient franchi la porte et avant que ma mère ne range, nous nous précipitions pour lécher le fond des verres.C’était tellement bon, bien sucré, bien parfumé…
C’était plutôt les femmes qui buvaient le cassis, les hommes préféraient quelque chose de plus costaud :la goutte ! Celle-ci était distillée avec les fruits disponibles et le grand jeu des hommes était de deviner de quels fruits elle provenait, le plus souvent la poire, la prune, la prunelle (la goutte de plosses) parfois la cerise et puis bien sûr le marc de bourgogne.
Pour en revenir au cassis, tout le monde avait des cassissiers et faisait sa liqueur selon les recettes de famille.

Voici donc la mienne :

Cueillir et laver 1,5 kg de cassis bien mûrs. Pas nécessaire de les égrapper.

Les écraser avec un pilon

Les mettre à macérer dans une bassine avec 2 bouteilles de vin rouge assez corsé (13°) pendant 5 jours en remuant de temps en temps.

Puis, égoutter le tout en pressant encore un peu les fruits et en laissant le jus s’écouler.

Peser le liquide obtenu (vin+ jus de cassis)

Ajouter la même quantité de sucre et porter le tout à ébullition pendant 5 min.

Enlever les impuretés qui se trouvent sur le dessus du liquide.

Laisser un peu refroidir

Filtrer une nouvelle fois le vin de cassis et remplir des bouteilles bien propres et sèches.

Cela m’a fait presque 4 bouteilles de crème de cassis.

Elle est très sucrée (trop ?) mais pour l’avoir testée dans du vin blanc, cela fait un Kir tout à fait acceptable !

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La fin de la visite du jardin

Il est temps de finir les présentations des diverses parcelles. Sur la 14, au bord ouest de la serre, j’ai planté cette année des courgettes, des bettes à côtes et des tomates cerises. Il y a, côté bâtiment, un pied énorme de serpolet et un pied de thym provenant de la Nièvre. Avec mon fils Matt, on échange des plants. Il m’a offert les plants d’artichauts avec un peu de chélidoine (la fameuse herbe aux verrues) il aime le jardinage, c’est peut être dans les gènes (merci Matt).  Sur la 15, j’ai laissé un pied de bette monter à graine. À côté dix chrysanthèmes, obtenus à partir de deux plants de 2016, sont enterrés en pots. Sur le reste j’ai repiqué cinq pieds de tomate récupérés chez Armand un copain, dont trois plants d’Armana orange paraît-il très goûteuses (encore un essai). Si elles sont bonnes, j’en ferais quelques graines ; elles ont été plantées tard (à suivre) Sur la 16, toute petite, il y a des rosiers, du persil en fleur et de la ciboulette, sur le reste j’ai planté des choux cabus (tête de pierre) et des soucis. Juste à côté, du thym et du serpolet qui sont envahis tous les ans en hiver par de la valériane (mâche sauvage).

Il reste quelques recoins à voir, le jour viendra. La période des récoltes de graines, de pommes de terre et de caïeux (ails, oignons et échalotes) est arrivée. À suivre.

le pied de serpolet

 

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La serre

La serre construite il y a 5 ans abrite depuis mes cultures de tomates. Elle n’est pas très grande (4 / 2) mais j’en suis très content. Je ne traite plus du tout depuis. Cette année, après un engrais vert à base de trèfle incarnat et d’avoine que j’avais semé en novembre, j’ai préparé le terrain avec un apport de terreau de fumier et de compost fourni par mon composteur (merci John). Début avril mes semis déjà repiqués en pots ont été mis en place. Quatorze pieds de tomates (2 Cornues des Andes, 4 Rose de Berne, 4 Noires de Crimée, 2 Ananas jaune et 2 hybrides Pyros) ont été plantés, le reste des plants ont été donnés. À côté contre la bâche, des piments (graines provenant de La Réunion offertes par  mon fils Christophe  ) ont été repiqués.Seize plants élevés comme les tomates sont mis en place quelques jours après celles-ci (Cabri, Blanc, Achards, Oiseaux, Thaï, Cloche et Martin). Au fond, devant la porte S/O protégé par un brise-vent, un pied de concombre a été repiqué. Dans les intervalles, entre les tomates des pieds d’ œillet d’inde et de basilic ont été replantés. Un peu de diversité dans huit mètres carrés ne nuit pas !

La serre est aussi utilisée pour abriter toutes sorte s de semis et repiquage. Au printemps il y a des pots, godets, barquettes de plants partout.

Les tomates mûrissent bien, nous en mangeons depuis début juillet, et nous avons déjà récolté une dizaine de concombres.

Fleurs de piment Thaï et piments en formation.

Piment Blanc, fleurs et fruits en formation. Aujourd’hui tous mes pieds sont en fleurs ou plus.

Belle diversité sur huit mètres carrés.

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